La solitude est un choix stratégique envisageable, contrairement à ce qu’on pense trop souvent. Elle abandonne bien des défauts d’analyse de la mondialisation en cours, bien des fantasmes de solution aussi. Bien pensée, en choisissant ici ou là des partenaires sur tel ou tel sujet, en n’hésitant pas ailleurs à rechercher des rapports de force, elle devrait permettre de trouver de nouvelles marges de manœuvre conformes à nos intérêts de long terme.