Lignes en Syrie

Après l’attaque chimique de cette semaine, la notion de ligne est revenue à la une des médias : ligne rouge des uns, ligne franchie par d’autres,  changement de ligne de Trump. Cela amène plusieurs commentaires.

Attaque \

Source

En premier lieu, il est très plausible que l’attaque soit le fait des troupes loyalistes. Alors qu’en septembre 2017, le moment du déclenchement et les modalités laissèrent l’impression que les choses n’étaient pas aussi claires qu’on le disait (depuis le marché de Markalé à Sarajevo, l’analyste sait que toutes les parties sont capables de tout), autant la responsabilité de Damas prête moins à débat cette fois-ci. L’idée russe selon lequel ce serait un entrepôt des rebelles qui aurait été touché ne convainc pas. Autrement dit, les avions syriens ont probablement tiré des armes chimiques.  Pourquoi ? Continue reading « Lignes en Syrie »

N° 65 : Manœuvre de défense pour une législature | Où va l’Italie ?

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Une manœuvre de défense pour une législature

Après avoir examiné la fonction que doit jouer une plateforme Défense présidentielle (cf. LV 64), voici quelques réflexions, une vision en quelque sorte, pour nourrir un débat de défense jusqu’ici confisqué et élaborer un programme (cf. LV 66). Pas de programme défense sans projet stratégique. Projet stratégique Les temps stratégiques actuels exigent de restaurer l’autorité bien entamée de l’État en France et de la France dans le monde, dont dépendent d’une part l’engagement collectif du pays et de l’autre la sécurité de son territoire et la survie de sa population en tant que nation indépendante et, autant que faire se peut, maîtresse de son destin   […].

Où va l’Italie ?

Les Européens se sont réunis à Rome pour fêter le 60ème anniversaire du traité éponyme. C’est l’occasion de se tourner vers notre grand voisin latin, important bien que trop négligé alors qu’il devrait constituer un relais puissant de la stratégie française, s’il advenait que celle-ci fasse de nos Sud un axe clé de notre stratégie. On pourrait commencer par l’instabilité gouvernementale et l’émergence de partis « hors-système », certes mais l’essentiel de la question italienne réside dans l’économie et l’Europe ; le 60ème anniversaire a donc un double intérêt pour Rome […].

Lorgnette : Tango turc

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Source image : Allociné, La Grande Bellezza

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N°64 : Défense en campagne | Après l’EI

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Défense en campagne

Ledébat présidentiel 2017 est préempté depuis près de deux mois par des priorités médiatico-judiciaires sur lesquelles il y aurait à dire si La Vigie avait vocation à aborder les questions politiques sensibles. Le résultat de cette situation inédite est que les questions de fond qui nous concernent sont éclipsées : quelle sécurité pour les Français, quelle Défense pour la France, quelles relations avec nos voisins, quelle politique extérieure et quelle participation de la France à l’ordre et à la paix internationale ? La Défense est comme toujours le parent pauvre de la présidentielle tant il est admis qu’elle fait consensus et n’est pas clivante. On entend même en cette fin de législature que c’est le secteur le plus épargné par les critiques, voire que ce ministre de la Défense est le plus performant de la Vè République ! Alors, de dépit face à ce débat avorté, nous tenterons de remplir le vide en répondant à deux questions : d’abord, à quoi sert une plateforme présidentielle de défense (ce numéro) ; puis quelles sont les briques d’un programme de défense pour la France aujourd’hui ? (les prochains, LV 65 et 66).  […].

Après la chute de l’EI

L’État Islamique (EI) recule partout. Il a été chassé de Syrte en Libye, a disparu d’Alep et de la Syrie occidentale, a perdu son contrôle de la Syrie du nord et notamment le chef-lieu d’Al-Bab mais aussi Palmyre, tandis que les Kurdes, appuyés par les Américains, progressent vers le sud en direction de Raqqa, la capitale de l’émirat. En Irak, il a perdu ses positions au centre et chacun observe la bataille de Mossoul qui voit, inexorablement, les forces « irakiennes » appuyées par la coalition progresser désormais sur la rive droite du Tigre. Au Nigéria, Boko Haram voit sa zone de contrôle également réduite. Autrement dit, la partie est perdue pour l’EI qui a également égaré la magie médiatique qui avait été l’autre composante de son succès. On sait en effet que le flux des combattants s’est drastiquement tari, ne serait-ce que parce qu’il n’y a plus de voie d’accès. L’EI est assiégé et est voué à disparaître. Il faut dès lors penser la suite, selon trois directions : l’avenir de la région, la question des hommes (revenants et réfugiés), enfin la pérennité de son idéologie. […].

Lorgnette : Djihad et Sahel

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Source image : Jordi Bernabeu via Visual Hunt / CC BY

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Activité des chercheurs de La Vigie

Vous le savez, La Vigie travaille avec un certain nombre de chercheurs associés (voir ici). En ce début d’année, il est bon de signaler leur activité.

Ainsi, Matthieu Boulègue parlera mardi soir puisque le programme Sogdiane du CAPE (Centre d’Analyse de la Politique Etrangère) vous invite à la conférence : Eurasie post-soviétique : une bombe à retardement ? Le mardi 24 janvier 2017 de 18h à 20h Ecole Militaire, Amphithéâtre Lacoste Entrée au 1 place du Maréchal Joffre Amphithéâtre Lacoste. Une Ukraine divisée entre Est et Ouest, une Russie de retour au premier plan, une stabilité de plus en plus fragile dans l’Asie Centrale et dans le Caucase… après une année 2016 riche en événements, quelles perspectives en 2017 ? Avec  :

  • « Russie – OTAN : évolution des tensions », Mathieu BOULEGUE, analyste du CAPE, en charge du programme Sogdiane sur l’Eurasie ; associé au cabinet de conseil AESMA
  • « Asie Centrale et Caucase : une montée des périls sécuritaires en 2017 ? », Didier CHAUDET, Directeur de la publication du CAPE ; chercheur associé, IFEAC (Institut Français d’Etudes sur l’Asie Centrale, Bichkek)
  • « Ukraine : Quand l’espace de liberté d’internet se fait champ de bataille », Christine DUGOIN-CLEMENT, analyste du CAPE, spécialiste des questions de guerre cyber et informationnelle, doctorante à la Sorbonne Paris 1

Inscription avec date et lieux de naissance auprès du Secrétariat du CAPE : cape.europe(a)gmail.com ou de cdugoin(a)gmail.com. N’oubliez pas de vous munir d’une pièce d’identité.

Signalons également la parution du numéro 4 d’ Orients Stratégiques, la revue dirigée par Pierre Berthelot. Elle est publiée chez l’Harmattan (voir ici pour le lien direct et ici pour le site de la revue). Elle s’intitule « Les frontières dans le monde arabe : Quels enjeux de pouvoirs  aux marges des États ?« . Le numéro est dirigé par Daniel  Meier.

Vous pouvez aussi lire le compte-rendu publié dans le site « Les clefs du Moyen-Orient ».

JDOK

N° 57 : Un pas plus loin | Turquie, bateau sans cap ?

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Extrait des articles présents dans cette lettre :

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Un pas plus loin

Poursuivons notre réflexion sur l’évolution du cadre de sécurité de la France et des Français. Si la guerre s’est muée en affrontements variés, si les théâtres de conflit se diversifient, si les vulnérabilités exposées sont devenues plus déterminantes que les menaces supposées, si les recours aux soutiens extérieurs semblent illusoires, alors il faut recaler notre approche de la défense et de la sécurité nationale. La culture de vigilance que promeut le SGDSN, le Secrétariat de la défense et de la sécurité nationale, est à la base de la réflexion stratégique. Posons que l’actuelle formule de défense nationale ne suffit plus à la sécurité du pays (cf. LV 51). Car dans un monde global en évolution accélérée, 25 ans après la Guerre froide, il faut désormais une stratégie vraiment totale pour assurer la défense et l’intégrité du pays et la vie de la population. Il faut donc aller plus loin. L’état d’urgence installé l’exige.[…]

Turquie : bateau sans cap ?

La Turquie paraît engagée dans une course folle dont on voit mal le but. Guidée d’une main toujours plus ferme, elle déroute l’observateur tant les foucades du pouvoir semblent nombreuses. Si chaque coup de barre possède sa logique locale, on ne discerne pas la ligne stratégique générale. La Turquie est bien plus erratique que l’assurance de son leader ne le laisse croire. En fait, la situation actuelle est le résultat curieux d’une interaction constante entre facteurs intérieurs et chocs extérieurs. On pourrait sans doute remonter loin mais l’actuelle perte de sens semble remonter à l’année 2012, celle des révoltes arabes[…]

Lorgnette : Cuba libre

Source image : Photo credit: World Humanitarian Summit 2016 via VisualHunt / CC BY-ND

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Etudes Stratégique n° 4 : La France vue par ses proches

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La France est-elle intimidante, résolue, respectable, aimable, cohérente, fiable ? Comment est-elle perçue à l’extérieur ?

Ces questions, avec d’autres, (Quels sont les atouts stratégiques de la France ? Quels sont ses défauts et limites ? Quels accords stratégiques ou quels projets faudrait-il développer en commun ?), nous les avons posées à des chercheurs de pays proches de la France, voisins et partenaires.

 Cityscape with Eiffel Tower

Tous ont répondu sans fard, signe que la France continue de ne pas laisser indifférent, au plan stratégique. Elle demeure donc un acteur qui compte. Nous déplorons toutefois que les chercheurs américains sollicités, trop occupés par la force des débats de l’élection présidentielle américaine, aient passé leur tour : faut-il y voir un désintérêt pour la France ou l’habituel américano-centrisme ?

On lira ci-dessous ces contributions diffusées au premier semestre 2016 comme un large tour d’horizon des regards portés sur la France par des proches. On découvrira avec une certaine surprise que la principale pétition qui se dégage de ces propos parfois lapidaires est que, dans le désordre actuel, la France doit d’abord être la France, autonome, lucide, engagée et impartiale, ce qu’elle n’est sans doute plus assez.

Ainsi, pour reprendre les trois questions proposées, la plupart des auteurs reconnaissent à la France d’être la première puissance militaire européenne et qu’elle est quasiment la seule nation européenne à avoir un rôle à l’échelle du monde. A contrario, le principal reproche qu’on lui fait est de ne pas assez coopérer ou, plus exactement, de se comporter de façon unilatérale (et non intergouvernementale). La plupart des auteurs répondent enfin qu’il y a des espaces de coopération entre leur pays et la France : ici, la diversité des demandes empêche d’identifier un axe clair, ce qui suggère que la ligne stratégique de la France doit être multiple et s’orienter selon plusieurs axes (européen, africain, mondial par exemple).

Il sera bon de s’en souvenir à la relève de législature en mai 2017.

Notons enfin que chacune de ces analyses, publiées dans La Vigie au premier semestre 2016, doit être lue en conservant à l’esprit sa date de parution et les événements qui faisaient alors l’actualité. Parfois, cela peut éclairer le propos.

Bonne lecture. JDOK

La France stratégique vue de :

 

  1. Tunis (Abderaouf Ounaies)-                                     6 janvier 2016
  2. Grande-Bretagne (Julian Lindley-French)-          20 janvier 2016
  3. Madrid (Felix Arteaga)-                                            3 février 2016
  4. Rome (Ferdinando San Felice di Monteforte)-    17 février 2016
  5. Belgique (André Dumoulin)-                                    2 mars 2016
  6. Bucarest (Gheorge Ciascai)-                                     16 mars 2016
  7. Rabat (Jawad Kerdoudi)-                                          30 mars 2016
  8. Varsovie (Andrzej Szeptycki)-                                  13 avril 2016
  9. Stockholm (Lars Wedin)-                                          27 avril 2016
  10. Beyrouth (Georges Corm)-                                        11 mai 2016
  11. Bamako (Moussa Mara)-                                           25 mai 2016
  12. Berne (Alexandre Vautravers)-                                 8 juin 2016
  13. Moscou (Anna Dudar)-                                              22 juin 2016
  14. Berlin (Detlef Puhl)-                                                   6 juillet 2016
  15. Alger (Abdennour Benantar)-                                  20 juillet 2016
  16. Zagreb (Jugo Joz)-                                                      Inédit

Photo via Rob Potvin via VisualHunt.com

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N° 53 : Alep, Sanaa, Washington | Partage du fardeau

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Extrait des articles présents dans cette lettre :

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Alep, Sanaa, Washington

Les médias occidentaux se sont répandus, au cours des quinze derniers jours, sur « le massacre d’Alep-Est ». L’émotion est vive, mais l’émotion, c’est ce que vendent les médias aujourd’hui. Émotion partiale qui oublie les « massacres » qui se déroulent à Sanaa et ne traduit que les incohérences de Washington, et celles d’autres bien-pensants à sa suite. Ainsi, la récente initiative française apparaît comme le voile pudique de notre bonne conscience jeté sur la nudité de notre impuissance. De quoi s’agit-il? De stratégie ? Non, de communication. Le gouffre est profond entre la réalité et les paillettes de la com. Stratégie pourtant, puisqu’il est question de la guerre, manière violente mais usuelle de résoudre des contradictions politiques.  […]

Partage du fardeau

Adressée par les pays engagés dans l’action militaire, cette requête de solidarité est souvent lancée avec insistance à des partenaires considérés comme frileux voire passagers clandestins de leurs entreprises stratégiques. Elle vise à mutualiser les coûts et les risques et à élargir la plateforme politique de légitimation de l’action. Plus insidieusement, elle permet de distribuer les tâches à mesure des moyens et des capacités supposés. Mieux encore, d’enrôler méthodiquement des États dans des travaux de planification opérationnelle voire de planification de défense. Cela débouche sur des acquisitions d’équipements au titre de la standardisation des moyens et donc de l’efficacité de l’action alliée ou multinationale. Partager le fardeau, c’est aligner les planètes militaires sur une nécessité stratégique commune. JDOK. […]

Source image : bnpositive via VisualHunt / CC BY-SA

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Imbroglio turc

L’affaire du coup d’état raté et de la réaction d’Erdogan a fait couler beaucoup d’encre. Essayons, maintenant que la poussière est un peu retombée, de dégager les principales leçons de l’événement.

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Du déclenchement

Toute l’affaire a donné lieu, de part et d’autre, à une grande précipitation. Certains ont interprété cette confusion en y décelant un calcul d’Erdogan qui aurait organisé le coup afin de se débarrasser de ses ennemis. Les choses nous semblent plus ambiguës. Continue reading « Imbroglio turc »

Nice : au-delà du choc

L’émotion, comme si nous n’avions rien appris

L’attaque de Nice a été tardivement revendiquée par l’Etat Islamique (36 h après l’attentat), alors que l’auteur de l’attentat présente un profil de déséquilibré et n’a pas ouvertement signalé son attachement à la cause djihadiste.  Pourtant, immédiatement, l’hypothèse terroriste a été mentionnée tandis que les commentaires politiques fusaient de toute part. Comme si les réflexes politiciens prévalaient sans prendre un instant de recul. Encore une fois, l’émotion balayait les flux d’information comme si on n’avait rien appris. Les médias se précipitaient dans la couverture en direct des événements, diffusant des images insoutenables, interrogeant de témoins qui n’en pouvaient mais, sombrant dans le spectaculaire sans jamais se poser la question de leur responsabilité. Car au-delà de la tristesse légitime que nous devons avoir, tout s’est passé comme si on n’avait rien appris. Aucun preneur de parole n’a réellement montré la dignité et surtout la distance stratégique qui convenait. Comme si c’était la première fois, comme si c’était une surprise, comme si on n’était pas préparé alors que chacun savait que d’une façon ou d’une autre, cela se reproduirait.

Attentat à Nice : des papiers d'identité au nom d'un Franco-Tunisien retrouvés dans le camion Source

Voici ce qui effraye le plus : Continue reading « Nice : au-delà du choc »

N° 46 : Brexit : l’UE désunie | Théorie de l’ennemi | Stratégie 2017 vue de Berlin

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Extrait des articles présents dans cette lettre :

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Brexit : l’UE désunie

Le référendum britannique du 23 juin a rendu son verdict : le Royaume-Uni quittera l’Union Européenne. L’événement est à l’évidence historique même si ses conséquences immédiates restent encore floues. Il marque en effet peut-être la fin du Royaume tel que nous le connaissons, certainement la fin de l’Union Européenne en son état, comme nous l’annoncions dès mars (LV n°38: Euxit). Désormais, l’Union est désunie et l’on voit mal comment elle pourrait se perpétuer telle quelle. […]

La théorie de l’ennemi

On s’est réjoui de la parution sous la signature du ministre de la Défense aux Editions du Cerf, il y a deux mois, d’un court opuscule titré « Qui est l’ennemi ? ». Ce petit livre, organisé en six chapitres, possède deux vraies qualités : du fond et du souffle. Il s’assigne la très utile tâche de la pédagogie de la défense et constitue au passage la vitrine et le plaidoyer d’une équipe engagée. Un petit livre qui témoigne d’une solide culture stratégique, fait preuve de vraie mémoire militaire et esquisse d’utiles pistes de réflexion. On avait salué l’effort du ministre et de son équipe mi-février (cf. LV36, Pour sortir de l’impuissance). Cette nouvelle compilation de textes récents mérite aussi notre attention ; elle fait bien évidemment débat à un an d’une nouvelle législature. […]

Lorgnette : 213 morts

Stratégie 2017 : vu de Berlin (Detlef Puhl)

La posture stratégique de la France résulte du Livre blanc de 2013 et des positions qu’elle a prises depuis lors pour traiter les crises internationales auxquelles elle a été confrontée. Le principal atout de la France réside dans cette analyse des menaces à la sécurité des citoyens et du pays contenue dans ce Livre blanc. Elle lui confère une vraie portée stratégique dans le cadre de ses intérêts et de ses responsabilités globaux. L’analyse reconnaît clairement les limites de l’approche nationale. […]

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