Si le SPD a perdu les élections, il devrait se retrouver au gouvernement dans une coalition menée par le CDU en la personne de F. Merz. Or, les conditions ne sont plus du tout les mêmes que lors du temps d’A. Merkel et les défis ne manquent pas. L’Allemagne est dos au mur et cherche à se rapprocher de la France, qui n’est pas en bonne posture financière, mais qui a un meilleur mix énergétique, un bon outil de défense polyvalent, aussi stratégique, et conserve ainsi une certaine puissance. Voyons cela comme une opportunité où nous pouvons gagner tous les deux plutôt qu’un risque, où nous perdrons sûrement tous les deux.