Bakhmout n’est toujours pas tombée tandis que les Ukrainiens multiplient les coups de sonde. Lien vers le billet entier en fin d’enfilade.
Source : (Poulet Volant)
Continue reading « Bilan hebdomadaire n° 59 du 7 mai 2023 (guerre d’Ukraine) »
Bakhmout n’est toujours pas tombée tandis que les Ukrainiens multiplient les coups de sonde. Lien vers le billet entier en fin d’enfilade.
Source : (Poulet Volant)
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Toujours la transition avec la fin de Bakhmout et des initiatives ukrainiennes. Lien vers le billet entier en fin d’enfilade.
Source : https://twitter.com/Pouletvolant3/status/1652569706799288323
Continue reading « Bilan hebdomadaire n° 58 du 30 avril 2023 (guerre d’Ukraine) »
La consolidation se poursuit lentement en cette fin de saison des pluies.
carte : https://twitter.com/Pouletvolant3/status/1650030305233850370/photo/2
Continue reading « Bilan hebdomadaire n° 57 du 23 avril 2023 (guerre d’Ukraine) »
Deux semaines après le dernier bilan : situation globalement figée sauf à Bakhmout que les Ukrainiens sont en train de céder. Faisons le bilan de cette campagne d’hiver. Lien vers le billet entier en fin d’enfilade.
cartes : https://twitter.com/Pouletvolant3/status/1644969585962090496
Continue reading « Bilan hebdomadaire n° 56 du 9 avril 2023 (guerre d’Ukraine) »
Toujours cet entre-deux opérationnel entre les deux belligérants, difficile à interpréter. Cartes : ici
Continue reading « Bilan hebdomadaire n° 55 du 26 mars 2023 (guerre d’Ukraine) »
Nous sommes heureux d’accueillir ce texte de Yannick Harrel, auteur confirmé que nous avons déjà reçu et fin connaisseur de la Russie. Un texte qui arrive à point nommé, à la veille de la visite du président Xi à Moscou cette semaine, la première visite à l’extérieur depuis sa réélection.
Le conflit en Ukraine a cristallisé les oppositions géopolitiques. Au point que Russie et Chine sont désormais encore plus liées par leur partenariat stratégique, faisant craindre au bloc occidental une bascule des autorités chinoises vers un appui militaire actif en faveur de leur grand voisin. Certains commentateurs ont jugé bon de lénifier cette alliance, jugée contre-nature et contre-productive pour la Chine. Pourtant, celle-ci s’inscrit dans une logique historique d’apaisement et de renforcement des liens depuis plusieurs décennies.
Continue reading « Chine-Russie, alliance contre-nature ? (Y. Harrel) »
Semaine mitigée pour les deux belligérants avec des bonnes nouvelles et des déceptions. Lien vers le billet entier en fin d’enfilade. Cartes : @pouletvolant3
Continue reading « Bilan hebdomadaire n° 54 du 19 mars 2023 (guerre d’Ukraine) »
La chute de Bakmout tarde à venir et les deux parties semblent s’en accommoder. La situation à Avdivka devient compliquée pour les Ukrainiens. Cartes : @pouletvolant3
Continue reading « Bilan hebdomadaire n° 53 du 12 mars 2023 (guerre d’Ukraine) »
La chute de Bakhmout est-elle importante ? Finalement, les deux parties semblent avoir atteint leurs objectifs respectifs. Lien vers le billet entier en fin d’enfilade. Cartes : @pouletvolant3
Continue reading « Bilan hebdomadaire n° 52 du 3 mars 2023 (guerre d’Ukraine) »
Nous sommes heureux de publier ce texte de Stéphane Audrand qui est consultant en risques internationaux (à son compte depuis 2013), historien (de formation) et officier de réserve (marin, en poste à la DGRIS). LV
Pourquoi n’a-t-on pas dissuadé Vladimir Poutine d’envahir l’Ukraine ? C’est une question récurrente depuis le 24 février 2022. Indéniablement, les mécanismes internationaux de sécurité collective censés décourager le recours à la guerre ont échoué, de même que les tentatives directes de dissuader Vladimir Poutine.
Or la réponse à cette question de l’échec de la dissuasion est loin d’être triviale : si la dissuasion est une pratique immémoriale, qui renvoie à une médiation entre individus autour d’un acte que certains souhaitent empêcher d’être commis, elle revêt à l’ère nucléaire une importance cruciale pour la sécurité des nations et l’avenir de la planète. Se pencher sur tout échec de la dissuasion est donc primordial pour espérer corriger les processus qui auraient pu, qui auraient dû permettre d’éviter la guerre. S’agissant de l’invasion de l’Ukraine, il est vraisemblable que la dissuasion a été mise en échec par un mauvais calcul stratégique, de part et d’autre : si le déclenchement de la guerre est sans équivoque de la responsabilité de Vladimir Poutine, cela ne veut pas dire que l’Ukraine et ses soutiens n’ont pas fait quelques erreurs de signalement qui ont échoué à dissuader le maître du Kremlin. Si le président russe a sans doute sous-estimé le coût et les risques de son action et surestimé les bénéfices, les pays occidentaux ont sans doute été inefficaces dans les signaux à envoyer à la Russie, nécessaires pour le calcul stratégique rationnel. Et, sur le plan irrationnel, nous n’avons pas suscité la peur.
Pour mieux appréhender la complexité du dialogue qu’est la dissuasion, il n’est pas inutile de revenir à quelques fondamentaux de ce qui reste, au-delà des théories, une pratique quotidienne entre États, toujours changeante. Le mythe de la « stabilité stratégique » doit plutôt céder la place à la reconnaissance d’une perpétuelle « instabilité corrigée en temps réel ».