Martine Cutier, fidèle correspondante et lectrice assidue, nous adresse cette fiche de lecture. Un peu de sociologie militaiore ! Merci à elle. LV.
Dans la continuité des travaux d’Hubert Jean-Pierre Thomas et particulièrement de ceux du colonel ® André Thiéblemont[1] qu’il qualifie de précurseur contemporain, l’auteur étudie les militaires en situation sur le terrain ce qui est le propre de l’ethnologie. N’étant pas la sociologie bien que les deux disciplines appartiennent aux sciences sociales, il rappelle que cette dernière s’inscrit dans le champ de la « sociologie militaire » et reste quasi inexistante (p 24). Avec toutes les conséquences du point de vue des postes et des carrières du fait de l’absence du champ de la sociologie du militaire au sein de l’université française.